Sarlat : grande colère

GRANDE COLERE, NE TOUCHEZ PAS A NOTRE HÔPITAL

NOUS NE LAISSERONS PAS FAIRE !

Le tract

Les décrets de la loi RIST (qui, au-delà de la gestion « modernisée » de l’hôpital, entend lutter contre les abus de l’intérim) viennent d’être publiés et mettent à mal tous les hôpitaux publics de France, en réduisant de façon drastique les indemnités des médecins intérimaires (moins 40%), ce qui entraîne des démissions en cascade, touchant également l’hôpital de Sarlat.

Des anesthésistes, des urgentistes, des gynécologues, des radiologues, des pédiatres, des gériatres, des psychiatres intérimaires menacent, dès le 28 octobre 2021(date d’entrée en vigueur de la loi), de quitter leurs postes.

Ceux-ci viennent pourtant en soutien des praticiens hospitaliers titulaires, et depuis des années, ils assurent la continuité, la qualité et la sécurité des soins.

Ils sont donc essentiels à la bonne marche de l’hôpital. Si certains abus sont effectivement condamnables, les intérimaires doivent être rémunérés décemment, à hauteur de leur compétence et sur des critères nationaux.

Dans l’urgence, une délégation a été reçue par M le Maire, Jean Jacques de Peretti, ce mercredi 13 octobre, associant soignants et usagers.

Nous avons pu ainsi échanger autour de cette situation nationale et de ses conséquences locales, afin de maintenir l’activité actuelle de l’hôpital de Sarlat.

Des solutions existent : le gouvernement doit surseoir à l’application de ces décrets par un moratoire.

Le dialogue est ouvert, par ailleurs, avec la direction de l’hôpital de Sarlat qui s’est engagée à apporter les solutions dans un cadre légal d’ici le 27 octobre 2021.

LES PATIENTS, LES SOIGNANTS NE DOIVENT PAS SUBIR LES CONSEQUENCES DE CETTE LOI

TOUTES LES AMELIORATIONS ACQUISES DOIVENT PERDURER ET SE POURSUIVRE

RETROUVONS-NOUS AU DEBAT PUBLIC AU REX

VENDREDI 15 OCTOBRE à 18H