La mobilisation du 26 juin avait fait reculer l’ARS : le 8 juillet elle annonçait qu’elle suspendait son projet et qu’elle ouvrait des discussions avec les médecins, les salariés, les élus et les usagers pour essayer de parvenir à un accord d’ici fin septembre.
Pour l’ARS, il s’agit en fait « de proposer une méthodologie pour favoriser l’acceptation du projet dont il n’existe pas d’alternative [..] »