Dans un référé paru fin juin, la Cour des comptes souligne l’opacité financière des cliniques privées, les choix faits pour privilégier les actes rentables, la participation financière demandée aux patients (dépassement d’honoraires, facturation des chambres individuelles), l’absence de contrôle par les ARS … Elle indique que « En revanche, la situation des médecins en clinique est globalement de plus en plus favorable. » La ministre n’a pas daigné répondre à la Cour des Comptes dans les deux mois avant publication de ce référé comme la loi ‘y autorise.
Les laissera-t-on encore longtemps assécher l’hôpital public, privant de l’accès aux soins de nombreuses populations ?